Sunday, October 24, 2010

Les plus graves environmental depuis 1963 au Bénin loin de l'attention de la communauté internationale


Depuis 5 semaines, plus de la moiti des communes b ninoises sont s v rement touch es par des environmental dues une pluviom trie anormalement lev e, le double des pluies habituellement attendues cette saison. La situation alarm ante des 358 621 sinistr s, chiffre officiel, sous-estim d'apr s l'UNDAC qui, CPG s une valuation par h licopt re chiffre 680 000 les personnes affect es, ne semble pas susciter l'int r t de la communaut international qui reste silencieuse.

51 des 77 communes que compte le pays sont touch es, et m me les crues the 1963, rest es dans les esprits comme la pire catastrophe qu'ait connue le B nin ces derni res 50 ann es, n'avait pas autant de caus d g ts. Rotimy Djossaya, Director of the care B nin raconte: Tous les anciens s'accordent pour dire que, the m moire d'homme, ils expression jamais vu de telles environmental risks.?

L'information n'est pas relay e dans la communaut international, comme si la r currence des crues masquait l'aspect extraordinaire de la derni re, s'inqui to Rotimy Djossaya.Des zones qui n ' taient pas consid r es inondables ont pourtant t enti rement d truites comme le village de Kopto, commune de Zangnanado au centre du pays. Dans les zones lacustres, des milliers de personnes continuent vivre les pieds dans l'eau, dans des riaux cases faites the mat fragiles, enfouis depuis des semaines cons ing environment, sous parfois plus the 2 m d'eau.

La question sanitary est un objet majeur the pr occupation, et tous les regards sont port s aujourd'hui sur la courbe inqui aunt du nombre de cas de chol ra qui ne cesse de Merry. L'occupation des postes de sant, par les populations qui y ont trouv refuge, paralyse l'acc s aux soins dans un contexte legs tiel les pid mies: les latrines ont t inond es d versant des eaux noires dans l'eau qui sert se laver, manger et chef. Environ 800 cas sont r pertori s ce jour, dont 51 Cotonou, et le chiffre grossi de jour and jour.

La pauvret du pays renforce la probl matique the l'acc s aux soins. Dans une majoritairement FOD Economie informelle, les m nages qui ont perdu leurs stocks ne peuvent plus exercer d'activit s g n ratrices the revenus, et par cons quence, s'offrir les consultations m dicales, payantes au B nin. Situation qui ne risque des comportements entra, puisque les femmes pratiquent l'auto m dicamentation pour soigner les diarrh es et fi vres des enfants, sans compter qu'elles paient cr this pour le faire.Les pluies continuent tomber, la saison des pluies se poursuit, n'attendons pas que la situation se d grade encore pour fina int?ress? ouvrir les yeux, alert Rotimy Djossaya.

Pr sente dans les communes d'Agu gu, the Dangbo, Adjohoun, Bonou, Ouinhi et Zangnanado, pour faire face aux maladies hydriques et l'impact d'une large ventuelle pid mie, CARE a d marr la distribution de pastilles de purification de l'eau, savon, des moustiquaires imbib es et anime des s ances the sensibilisation l'hygi ne aupr s 10 000 personnes.10 000 enfants de moins de 5 ans et 2000 femmes enceintes sont aussi pris and charge contre la malaria.Par ailleurs, CARE Commenc? la distribution de nourriture aupr s de 10 000 personnes, avec 200 tonnes de ma s, 4000 l d'huile et 12.5 T the soya and attendant the soutenir les populations dans la consolidation de leur habitat.

CARE a augment son appel aux Fund initial 2.5 millions d'euros pour atteindre 100 000 personnes avec la distribution de nourriture, tablet tes the purification, kits the ren for cement pour les abris et autres biens the premi re n cessit.

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